L’idée du CHOQ (Contribuons à un Hainaut Occidental de Qualité) a germé en 1998 au sein du « Groupe de travail Emploi » de la Chambre de Commerce et d’Industrie.
A cette époque, un groupe de patrons sont interpellés par la fermeture de plusieurs entreprises emblématiques de notre région et les difficultés qui en découlent. Ils décident de réunir une série d’acteurs socio-économiques dynamiques (syndicats, Forem, médias locaux…) et se mobilisent pour créer une association qui déploiera des actions concrètes de développement dans la région.
En 1998, CHOQ est constitué sur base d’un acte fondateur : la ratification d’une charte « Qualité » par le patronat, les syndicats, les services publics, des acteurs de l’enseignement, les intercommunales, les milieux culturels, des mutualités, etc…
Dès le départ, l’ASBL se focalise sur 3 axes : l’emploi, la qualité du management et la formation des travailleurs. L’objectif est de mettre en place des projets qui pourront ensuite être externalisés. C’est ainsi que naissent « Défi + », « La Maison de la formation » et « Start Construction ». En 2009, CHOQ s’ouvre à un nouvel axe de travail, l’innovation, et lance le réseau Coperni²c, précurseur des hubs créatifs en Wallonie.
Aujourd’hui, CHOQ rassemble un réseau de 500 membres et/ou sympathisants autour de 8 projets récurrents et de plusieurs groupes de réflexion ponctuels visant la création des projets futurs.
Formation d’un groupe de travail autour de la problématique de l’insertion socio-professionnelle.
Création du projet Binôme pour un Job.
Lancement du projet Choq Rev(alorisation).
Création du projet Choq Rev(alorisation).
Lancement du projet Qualité Communes.
Début de notre processus de formation « e-inclusion » en collaboration avec les CPAS de Lessines et de Mouscron.
Création de Perspéctiv’ : une émission qui met en avant les métiers en pénurie. Avec le collaboration de notélé et la CCI Wapi
Création du projet Inclume visant à développer un test de positionnement numérique ainsi qu’un réseau de soutien autour de la question des inégalités socio-numériques.
Obtention de l’agrément « Digistart » permettant la formation de personnes éloignées du numérique